L'escalade "pour les nuls"

L'escalade selon "salegosse" ?



Le "bloc" pour commencer

La France compte une multitude de sites naturels propices à cette activité.
Il ne faut pas croire que l'escalade en extérieur soit réservée aux grimpeurs confirmés. Les débutants peuvent tout à fait grimper sur des "blocs", c'est à dire des roches de 2 à 5 mètres de haut. Dans ce cas, l'escalade se fait la plupart du temps sans cordes, ni baudrier (voir le reportage sur l'escalade de bloc à Fontainebleau).

Une demi-journée d'initiation avec une structure privée revient environ à 40 euros. Une licence dans un club coûte entre 60 et 100 euros pour l'année.
On vous apprendra notamment la gestuelle, la manipulation de votre tapis de réception, le parage (la protection en cas de chute).
Quelques sites de blocs : www.escalade.camptocamp.com




L'escalade en falaise reste la pratique "phare". C'est en tout cas la plus impressionnante et la plus technique. Il s'agit de grimper des parois de plusieurs centaines de mètres. L'une de ses représentantes françaises les plus célèbres est Catherine Destivelle, considérée comme la meilleure grimpeuse au monde, entre 1985 et 1988.

L'escalade en falaise nécessite évidemment un équipement spécifique et un encadrement qualifié.
Les clubs et structures privées proposent des demi-journées d'initiation. Comptez entre 30 et 60 euros. On peut aussi découvrir l'activité sur plusieurs jours : c'est l'objectif des "stages" (300-400 euros les 5 jours).
Trouvez un club près de chez vous : www.ffme.fr ; www.ffcam.fr




Un bon outil d'entraînement

Vous habitez en ville, loin des falaises et des blocs naturels ? Pas de problème... Depuis 1970, il existe dans quasiment toutes les villes des structures artificielles d'escalade (SAE), qui permettent de pratiquer cette activité en salle.
Les murs sont constitués de plaques en bois ou en résine (avec des "obstacles" pour ressembler aux rochers), sur lesquelles ont été fixées des prises en résine. C'est un très bon outil pour se préparer à l'escalade en site naturel.
Ces SAE sont gérées par des clubs, affiliés pour la plupart à la Fédération Française de la Montagne et de l'Escalade. Le tarif d'une séance est très variable mais comptez environ 8 euros pour 2 à 3 heures.

Les salles d'entrainement :
==> http://escalade.camptocamp.com/sae.html



De 7 à 77 ans :
Un sport accessible à tous

On peut commencer l'escalade très jeune. Les clubs proposent des cours dès l'âge de 6 ans. Et l'escalade se pratique désormais aussi à l'école, au collège ou au lycée. "L'escalade fait travailler tous les muscles et aussi la tête, explique Jacky Godoffe, de la Fédération Française de la Montagne et de l'Escalade. Cest un sport ludique et un bon moyen de socialisation : il faut s'occuper des autres, veiller à leur sécurité".
Jeunes, adultes, seniors : tous peuvent pratiquer l'escalade. Seules qualités requises : un minimum de force dans les bras, de la souplesse et un certain sens de l'équilibre.
Les amoureux de la grimpe apprécient l'escalade à la fois pour la maîtrise de soi et la confiance qu'elle permet de développer, et pour les sensations qu'elle offre.



Le matoSSs :

Comme dans des chaussons

L'escalade n'est pas un sport très onéreux. L'essentiel du matériel est fourni par les clubs. Seul l'achat d'une paire de chaussons est conseillé. Les chaussures spécialement conçues pour l'escalade sont en effet dotées d'une gomme particulièrement adhérente. Comptez environ 50 euros.
Le reste de l'équipement consiste en un baudrier (un cuissard qui relie les cuisses à la taille avec des sangles), une corde, des dégaines (deux mousquetons reliés) et un casque (pour se protéger d'éventuelles chutes de pierres).
A noter : c'est un passionné d'escalade français, Pierre Allain, qui a inventé le mousqueton en alliage léger en 1933 et le chausson d'escalade en 1935.




Un niveau, une couleur

Un système de cotation a été mis en place pour permettre aux grimpeurs de savoir quelles voies leur sont accessibles ou non.
Les sites les plus faciles à escalader sont ceux de catégorie 3, les plus durs de catégorie 10. A ces chiffres s'ajoutent des lettres (a, b, c) pour préciser le niveau. En bloc, la couleur des flèches peintes sur le rocher définit la difficulté globale du circuit (jaune : facile, rouge : extrêmement dur...)
Ces niveaux sont repris dans les "topo-guides", des livrets où l'on trouve les accès au site, les consignes de pratique et le descriptif de toutes les voies du site (schéma et cotation). Ces topos peuvent s'acheter en librairie



Cascade de glace

Pour les amateurs de sensations fortes, il existe la "cascade de glace". Discipline dérivée de l'escalade, elle consiste à grimper le long des cascades gelées ou des parois de glaciers.
La progression se fait avec des chaussures à crampons et des piolets conçus pour les parois de glace verticales.
Cette activité spectaculaire est pratiquée par des grimpeurs expérimentés. Mais il est tout de même possible de s'initier à la cascade de glace dans quelques clubs. Se renseigner auprès de la Fédération : www.ffme.fr




Rappel, assurage...

L'escalade se pratique généralement en binôme : une personne qui grimpe, reliée par une corde à une personne qui "assure", c'est à dire qui prévient une éventuelle chute du grimpeur.
Il est parfois nécessaire de descendre en rappel d'une falaise. Cela signifie que le grimpeur redescend par ses propres moyens en se laissant glisser avec un système de freinage : la corde est installée dans un point d'ancrage au "sommet" et insérée dans votre baudrier. Il descend en faisant coulisser la corde.
Pour pratiquer l'escalade en falaise, il faut aussi savoir faire des nœuds : nœud en huit et nœud de chaise.
Des sites sur Grenoble :
http://club.ffme.fr/gum38/escalade/initesca.htm


Le VOC spécifique :
Un vocabulaire bien spécifique

Le monde de la grimpe a un langage à part ! Pour le comprendre dès vos premières prises, voici quelques expressions courantes.
"Du mou" : le grimpeur demande à son assureur de lui donner plus de longueur de corde.
"Sec" : c'est ce que dit le grimpeur à son assureur quand il est en train de tomber.
"Vaché !" : le grimpeur arrivé au sommet crie cela lorsqu'il s'est attaché en haut grâce à une vache (une longe).
"Là j'étais taquet" : lorsque le grimpeur était à la limite de la chute.
"Vas-y rando!" : une partie de la voie où l'on "y va rando" est une partie facile



Sources linternaute.com + tous les sites cités à lintérieur...

bravooo bliss je n'aurais dit mieux

je rajoute quelques liens a au cas ou http://www.xavier-langlois.com/
-tropism.com/bleau-a-bloc/index.htm" class="postlink" target="_blank" rel="nofollow">http://-tropism.com/bleau-a-bloc/index.htm http://bleau.info/ sur fontainebleau
http://www.zebloc.com/
sur la grimpe sur bloc en général
http://www.murmur.fr/index.php
la salle ou ons vas l'hiver

et pour ce qui est des falaises il y en as telement que je ne sais pas lesquels metre loll mais avec ceux que j'ais mis vous en prendrez pleins les nyeux dejas lolll

j'ai tenté ... le vertige a eu raison de :/ l escalade pourrait me guérir sais pas

excelent blisS .